EDITORIAL
ÉDITORIAL
Certains en doutaient mais la réalité a fini par se faire jour : La Terre avance dans l'espace, ainsi que le Soleil.
Certes, Newton, à la suite de Galilée avait commis l'erreur de présenter sa théorie avec un Soleil immobile. Cela avait laissé les ignorants tels que Albert Einstein croire que le déplacement de la Terre était simplement relatif au Soleil. Mais cela n'était aucunement le point de vue de Newton.
Le mouvement de la Terre, pour Isaac Newton était bel et bien un déplacement par rapport au vide lui-même. Un déplacement absolu.
En cela, il ne faisait que suivre le chemin tracé par les anciens tels que Démocrite, Lucrèce et les autres. Dans son ouvrage magistral, le Romain Lucrèce définissait le vide et les atomos : il y a des corps élémentaires qui se meuvent dans le vide absolu. Il n'existe rien d'autre.
L'ignare Einstein, qui croyait encore en 1905 à l'isotropie de l'espace, a construit une théorie prétendant que les mouvements de la Terre étaient négligeables : il s'imaginait que les photons s'écartaient de la Terre comme si elle était immobile. Il ignorait que vers l'avant, les photons s'écartaient de la Terre d'une distance plus courte que les photons partant vers l'arrière. Il ne comprenait pas que ces derniers voyaient leurs 299 792 458 mètres s'ajouter à la distance objective parcourue par la Terre en une seconde. Il ne comprenait pas que cette distance, en une seconde, était la somme de la vitesse objective des photons dans le vide et de la vitesse objective de la Terre dans le vide.
Cet ignorant, suivi par un siècle d'ignorants serviles à la bourgeoisie, a saboté l'héritage du grand Newton. Ce géant du 17° siècle, ce héros de la science, en butte aux sarcasmes des continuistes anti-corpusculaires comprenait bien que tout est formé de particules qui se déplaçaient dans le vide. Il comprenait bien qu'il n'existe de véritables mouvements que les mouvements absolus. Sa gravitation universelle ne se regarde pas comme l'analyse des mouvements relatifs des corps entre eux. Seuls les escrocs relativistes laissent un doute planer là-dessus parce que l'espace vide dérange leur maître à penser.
Isaac Newton alla même jusqu'à s'interroger sur la conversion entre la matière massive et les photons : " Les corps grossiers et la lumière ne sont-ils pas mutuellement convertibles, et les corps ne peuvent-ils pas recevoir une grande part de leur activité des particules de lumière qui entrent dans leur composition ? ". (cité par James Gleik " Isaac Newton " p. 190)